Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/05/2014

Actualité

 28 février 2014 : Nous avons réceptionné à La Source d’Or, notre « meilleur imprimeur de France », les palettes d’ouvrages Le Ciel a des yeux ! Superbe ! La reproduction de l’estampe offerte à Chen Zongbao ressort parfaitement sur la couverture blanche. Notre imprimeur a bien travaillé. Le livre pèse son poids : 700 pages, 700 grammes… Afin de ne pas surcharger le lecteur qui l’emporterait dans son sac pour en lire chaque jour un chapitre lors des déplacements quotidiens, il a fallu réduire le blanc tournant, supprimer les pages blanches paires… Quand nous pensons que Gallimard avait accepté le manuscrit pour peu que l’auteur « le réduise » ou en fasse deux tomes, ce qu’il n’a pas voulu, et nous en sommes très heureux car nous avons hérité d’un très, très beau livre.

 

26 mars 2014 : Deux salons très différents

Camille Valleix a participé au salon « Écrire et lire » de Triel sur Seine le dimanche 16 mars. Très bonne ambiance. L’événement se déroulait sur une péniche, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Ces « salons de province » sont l’occasion d’échanger longuement avec d’autres auteurs et avec des visiteurs qui ne sont pas nécessairement des acheteurs mais qui aiment le livre.

 

Jean-Marc Bourdet et lui ont participé au salon de Paris… Autre ambiance ! La foule ! Sauf peut-être sur le stand Marine de la Défense nationale qui les accueillait. De nombreux visiteurs se sont précipités sur les ouvrages concernant la Grande Guerre, en cette année de commémoration de son déclenchement. La foule en délire faisait la queue pour obtenir les signatures de M. Jospin ou de Mme Nothomb, toujours habillée en pingouin…

 

18 avril 2014 : Enlèvement de notre neuvième ouvrage publié

 Sixième roman de Camille Valleix, troisième volet de la trilogie Comme le temps passe… Olivier et les Maîtres du monde a vu le jour aujourd’hui. Longue vie à lui ! Nous avons évidemment conservé la même ligne éditoriale que les ouvrages précédents, la même qualité de papier qui place cette collection dans les « ouvrages de qualité », pour ne pas dire de luxe.

Les avis de nos correcteurs ; cet ouvrage a du souffle. Le parcours sans faute d’Olivier le met en contact avec les gouvernants, en France, en Allemagne, en Chine et dans d’autres pays. Le texte est parfaitement renseigné et permet, à côté de l’évolution du héros, de découvrir les faces cachées de nos sociétés : l’ombre est mise en pleine lumière… quelle déception, quelle tragédie ! Mais quel courage de nos héros !

 

13 mai 2014 : Baba Merzoug ou l’enlèvement de La Consulaire

Et voici qu’une nouvelle collection voit le jour : le roman policier. Le manuscrit de Gilles Lavoie a été corrigé, travaillé, re-corrigé et il atteint sa forme définitive. Il reste à faire une dernière lecture afin de traquer la coquille qui serait passée entre les mailles de quatre relectures.

L’ouvrage intègre deux histoires parallèles qui se situent à quatre cents ans de distance. Il teint de Da Vinci code et des meilleurs des polars : une lutte farouche et sans pitié oppose plusieurs groupes dont on ne peut comprendre les mobiles qu’à travers l’interminable conflit qui a opposé François Ier à Charles Quint, au xvie siècle.

Gilles Lavoie a commis un superbe ouvrage et, comme il est plein d’imagination et de ressources, il a déjà deux autres romans en projet !

 

15 mai 2013 : Deux ans d'existence

Les voyages forment la jeunesse, le projet forme l'âge adulte. Notre maison d'édition a deux ans d'existence. Ce qui était une audace est devenu une réalité que nous n'aurions jamais imaginée. Évidemment, nous y avons mis du notre, en temps, bénévolat, argent. Trois auteurs - seulement ? - et pas ceux que nous anticipions, bientôt un quatrième, neuf ouvrages publiés en fin d'année et huit nouvelles.

Oh, nous ne courrons pas après le nombre, cet ennemi de la qualité. Simplement nous pouvons espérer que votre patience sera récompensée.

Josette Lépine a rencontré un beau succès depuis la publication de son ouvrage: Le coaching somatique. Son texte était en souffrance, elle l'était aussi. C'est comme si l'accouchement de son oeuvre l'avait libérée. Son activité professionnelle se développe en France et à l'international, jusqu'à Moscou et son livre se vend bien, il faudra sans doute en faire une deuxième édition.

Notre nouvel auteur Jean-Marc Bourdet, déjà bien introduit dans la Marine, fête à Toulon, autour du préfet maritime, la publication de Les larmes du Liban, avec le soutien du SIRPA (Service d'Information et de Relations Publiques des Armées). Des contacts sont pris pour en faire un film... Nos lecteurs-correcteurs de L'ombre du Brézé sont enchantés.

Nous jubilons d'avoir dans nos cartons l'autobiographie de Chen Zougbao.

Notre écrivain prolifique Camille Valleix rencontre moins de succès, semble-t-il. Pourtant tous les lecteurs de ses ouvrages ont apprécié la lecture. Son dernier ouvrage Carole la Mongole blanche fait l'unanimité.

Manquent encore la compétence et la capacité d'assurer la promotion de notre maison d'éditions. 

Nous préférons cependant oeuvrer dans le silence, fabriquer des produits de qualité - qui seront reconnus comme tels - plutôt que de faire du tapage autour du vide - ce mal moderne.

Notre nouvelle stagiaire Céline va nous aider à faire connaître ce qui est déjà apprécié. 

 

8 avril 2013 : Nous sommes ravis d'accueillir une nouvelle stagiaire : Evanne

 

12 mars 2013 :

Ce lecteur David de B a joint un « roman » que C.Valleix a lu et nous a recommandé. Nous l’avons lu… et, avec l’accord de l’auteur, nous le publierons ! Tellement l’auteur est un héros porteur de valeurs que nous défendons. En tant qu’éditeur, nous ferons notre possible pour l’amélioration du texte et la mise à disposition d’un large public.

 

8 mars 2013 :

Nous avons reçu une lettre d’un lecteur adressée à Camille Valleix. Fierté, satisfaction d’avoir osé nous lancer dans l’édition … lorsque l’auteur reçoit ce témoignage : « j’ai lu, relu et relu encore vos ouvrages. Je tiens à vous témoigner mon admiration ». David de B.

 

5 mars 2013 : 

Deuxième rencontre avec un auteur : Jean-Yves B. et son essai : VERTUS. Mais comment peut-on espérer être lu en développant le thème des Vertus ! Par ailleurs André Comte-Sponville a déjà publié – au siècle dernier – un essai très réussi : Petit traité des grandes vertus. Alors ? On en reste là ou on avance ? On promeut les Valeurs d’Avenir – qui sont des valeurs éternelles – ou pas ?

 

Décision, puisque Jean-Yves le désire : mettre l’ouvrage sur le métier ! Nous allons avoir du boulot pour « vendre » la pudeur, l’humilité, la bonne foi, l’honnêteté … !

 

3 mars 2013 :

Et aujourd’hui, c’est le retour de Cécile  Delattre, qui a contribué largement à l’écriture et à la traduction du chinois vers le français de Le Destin chinois de Cheng Zao.

 

1 mars 2013 :  

Semaine inhabituelle parmi nos activités « commerciales », nous avons accueilli deux auteurs pour des séances de travail. Jean-Marc Bourdet, qui a déjà publié – en auto-édition – trois ouvrages, nous rejoint sous deux modalités : primo, il accepte pleinement notre rôle d’éditeur et les conseils éclairés – sur le fond et sur la forme – de Jacqueline Taillardat, notre directrice de publication agrégée de lettres classiques, secundo, il rejoint le bureau de l’association et prend le rôle de vice-président.

 

5 février 2013 : Les Larmes du Liban

Nous accueillons avec un grand plaisir le plus marin de nos auteurs : Jean-Marc Bourdet ! Jean-Marc a un goût extrême pour la mer. Dès que son métier le lui a permis, il s’est fait inviter à partager la vie des marins de la Royale, sur mer comme sous la mer. Les Larmes du Liban sont son quatrième roman. En mai 2010, il publiait Jeanne d’Arc, poste 12, en 2011 Dauphin 128 – la dernière folie de Kadhafi. Le premier, L’ombre du Brézé a rencontré un grand succès et nous allons le rééditer.
La programmation est : publication de Les Larmes du Liban en mars et la réédition de L’ombre du Brézé en avril.
Nous souhaitons à Jean-Marc tout le succès que méritent ses romans !

 

24 janvier 2013 : Changement de cap

Notre auteur Camille Valleix était en pleine écriture du troisième volet de sa trilogie Comme le Temps passe… quand, sachant ses multiples approches de l’écriture, nous lui avons demandé de nous fournir ses contes, nouvelles et autres récits. Pourquoi ? Parce que des lecteurs nous l’ont demandé, mettant en avant qu’avant de dépenser vingt euros dans l’achat d’un livre, ils auraient aimé se familiariser avec l’auteur dans des petits livrets à prix attractif. Sur notre site apparaîtront très prochainement un conte : Hans-le-Souriant, une nouvelle : Dix ans de plus et un récit noir : Trois vies en une. Et Camille en a une dizaine d’autres sous le coude ! Sans compter l’ouvrage sur lequel il travaille depuis vingt ans : Gilles Gamèche, qui devrait paraître en 2014.

 

21 janvier 2013 : Un grand bol d'air frais

Nous accueillons aujourd’hui en stage Marion Rogez, en année de licence des métiers du livre de l’université Paris Descartes, pour une durée de trois mois. Avantage pour elle : découvrir et se familiariser avec tous les aspects du métier, depuis la correction des manuscrits – aidée en cela par Jacqueline, notre agrégée de Lettres classiques – jusqu’à la facturation aux libraires et à l’envoi des colis aux clients qui ont commandé par le site www.editionsvaleursdavenir.fr
Elle nous apporte son habilité, sa pratique des outils numériques et internet, son sérieux et sa gentillesse.

 

17 janvier 2013 : L'intelligence collective

Très belle soirée organisée par notre auteure Josette Lépine (1) autour de Jean-François Noubel, un des papes de l’intelligence collective. Le thème :
« Le monde évolue… et vous ? ». Jean-François a parcouru le monde en chercheur qu’il est. Aujourd’hui il conseille [aussi] les dirigeants. Une des premières questions qu’il leur pose, si ce n’est la première est : « Quel projet avez-vous pour l’humanité ? » Vaste question.

(1) Auteure de Le Coaching somatique ou l’intelligence du corps en mouvement 

 

7 janvier 2013 : « Vu à la télé » 

À quoi cela sert-il de placer nos ouvrages dans les librairies, si les « pro-meneurs » se contentent d’acheter ce qu’on leur met dans la tête ? Ces ouvrages sont au mieux exposés dans des rayons parmi la multitude : qui va encore dans une librairie pour en parcourir les rayons à la recherche de l’oiseau rare ? Si bien qu’au bout d’un mois, nos ouvrages vont rejoindre les stocks pour laisser la place aux « nouveautés ».

Il faut donc être visible… Les salons ? Certes si l’on a pu établir une relation particulière avec un journaliste qui va insérer un article d’un quart de page dans le journal régional. Les séances de dédicaces ? On n’est peut-être pas vu à la télé mais on a un contact direct. Il s’agit moins de vendre que d’établir une relation agréable avec un lecteur potentiel. C’est la répétition de la présence qui aboutira à l’acte d’achat. Mais on ne peut être partout et tout le temps ! Sauf à profiter des séances de dédicaces pour écrire le prochain roman (rires…)

 

15 décembre 2012 : 3ème Forum des Think Tanks

Se tenir informé, chercher d’autres points de vue, ne pas resté strictement dans son domaine (pour nous, l’édition).
Comprendre aussi les évolutions « imposées » par la technique. Nous sommes en train de changer de monde, nos auteurs – qui se tiennent informés – nous le confirment. Il est remarquable que les pouvoirs publics se félicitent du renforcement de Google dans l’hexagone ; pour 1000 emplois éventuellement créés, ce sont des milliers, sans doute des dizaines de milliers de libraires qui vont disparaître. Peut-il en être autrement ? Non, ce sont des dizaines de milliers de petits commerces de détail qui ont disparu avec la diffusion des grandes surfaces et les grandes surfaces elles-mêmes subissent la concurrence des sites marchands. L’édition est entrée dans l’ère de la consommation de masse. Ce qui caractérise la consommation de masse ? Un matraquage publicitaire (Lévy, Musso, Ruffin, Nothon…), la mise en valeur d’un nombre réduit d’ouvrages et une logistique à toute épreuve. Le client manipulé par le marketing commande ce qu’on lui dit d’acheter, plus besoin d’un libraire et surtout pas d’un libraire qui conseille ses clients ! Peut-on encore parler de culture ?…

 

1er décembre 2012 : participation à la vente de l’ADOSM (association pour le développement des œuvres sociales de la Marine, à Paris, Brest, Toulon.

 

20 novembre 2012 : Publication de Carole la Mongole blanche, de Camille Valleix, deuxième volet de la trilogie Comme le temps passe…

 

Octobre 2012 : Nous sommes référencés sur Électre et Amazon après Chapitre.com…

 

Août 2012,

Nous organisons une « tournée des libraires » dans l’Ouest à partir de Clermont-Ferrand : Limoges, Poitiers, Cholet, Nantes, Saint-Nazaire, La Baule, Guérande, Vannes, Quimper, Pont l’Abbé, Brest, Landerneau, Landivisiau, Saint-Pol-de-Léon, Morlaix, Lannion, Saint-Quay-Portrieux, Saint-Brieuc, Lamballe, Saint-Cast, Dinard, Saint-Malo, Dinan, Rennes (après une pause à Bécherel pour rencontrer nos amis amoureux des livres), Angers, Tours… Ouf ! Les libraires sont unanimes : personne ne fera mieux la diffusion et la promotion des ouvrages que l’éditeur et/ou les auteurs. Sur la fin du parcours, nous avons senti que la pression de la rentrée littéraire se faisait très forte : les libraires sont en train de recevoir les 640 nouveaux romans de la rentrée ! Où placer quatre ouvrages, même dignes d’intérêt mais sans soutien médiatique, parmi cette multitude ? Cependant, certains libraires jouent le jeu alors que d’autres semblent dépassés par les événements.

Juillet 2012,

Camille Valleix dédicace ses ouvrages dans plusieurs librairies d’Auvergne, avec un succès très limité. À l’époque actuelle, tout ce qui n’est pas « vu à la télé » a peu de chances de faire venir du monde. Nous programmons de mener une action médias après la rentrée littéraire de septembre.

20 juin 2012,

Publication du troisième volet de la trilogie de La traversée de la Penfeld : À Recouvrance.

Camille Valleix nous conduit sur les traces d’un jeune homme très diminué par l’accident qui l’a maintenu à l’hôpital pendant plus de quatre mois et pourtant plein de vitalité. Romain s’installe de l’autre côté de la Penfeld (d’où le titre de la trilogie), accueille chez lui son infortuné compagnon de chambre, hémiplégique, et met toutes ses forces dans sa reconstruction. Qu’en sera-t-il de ses projets ? Comment va-t-il faire face à ses handicaps ? Il a la chance de rencontrer des personnes exceptionnelles qui croient en lui et d’être doté de capacités de rebond hors du commun…

Avril 2012,

Camille Valleix dédicace ses trois premiers romans – le premier volet de Comme le temps passe… et les deux premiers volets de La Traversée de la Penfeld – dans les Centres Culturels Leclerc de Clermont, Moulins et Nevers. L’accueil est favorable.

Janvier 2012,

Nous avons la joie de publier un nouvel ouvrage, d’une nouvelle auteure – nous sacrifions à la mode qui consiste à féminiser des noms communs. Il s’agit de Le Coaching Somatique, ou l’intelligence du corps en mouvement, de Josette Lépine. Ainsi notre maison d’édition remplit sa fonction qui est de permettre à de « jeunes auteurs » qui ont du mal à se faire reconnaître des éditeurs de publier. Ç’a été un gros travail, un travail d’éditeur qui accompagne son auteur et nous sommes rudement contents du résultat ! C’est aussi l’occasion d’enrichir notre « gamme de produits » et de créer la Collection Développement Personnel, les romans publiés par Camille Valleix basculant dans la Collection Littérature.

Dans nos cartons, des ouvrages de Science Fiction et de Romans Historiques, et des contacts avec un poète… « Quo non ascendet » était la devise de Fouquet ; nous la faisons nôtre tout en étant très attentifs à l’ombre que nous pourrions faire aux Grands Éditeurs !

Si vous ne l’avez pas encore fait, lisez La Dame de Marvejols, voici ce qu’en dit un lecteur parmi d’autres :

 « LA DAME DE MARVEJOLS » ...

 Lecture d’une seule traite … littéralement scotché !

 La limpidité de l’écriture … les thèmes abordés … leur profondeur … leur précision … Que du bonheur !

 Je crois que je vais me réconcilier avec la lecture … tout au moins avec les romans de Camille VALLEIX.

 Encore merci et au plaisir de vous retrouver … pour de nouvelles aventures.

 Très cordialement,

 Un admirateur …

 Roman commandé directement aux Editions Avenir faute de l’avoir trouvé en libraire !

 Claude L.

Et vous ne serez pas déçus par La Traversée de la Penfeld. Camille Valleix fait fort !

À suivre…

21 Janvier 2012,

Camille Valleix nous annonce qu’il qu’il a terminé l’écriture de À Recouvrance et nous en remet le manuscrit qui passe entre les mains joyeuses et critiques de nos correcteurs attitrés, pour une publication en avril…

Mais pourquoi pas en mars comme cela était prévu ? C’est que le succès rencontré par La Dame de Marvejols nous conduit à programmer sa réédition sans tarder. Pensez, l’ouvrage n’est aujourd’hui disponibles que dans environ deux cent librairies – il y en a quatorze mille en France ! – et il est totalement absent des librairies de la région parisienne !

Il nous faut le temps d’apprendre notre nouveau métier et de nous familiariser avec toute la chaîne de la valeur, comme disent les consultants. Nous allons maintenant aborder la promotion, la diffusion et la distribution, qui constituent le nerf de la guerre.

Nous savons que nous ralentissons nous-mêmes le développement de notre maison d’éditions mais nous n’étions pas prêts à nous engager à la légère…

03 décembre 2012,

Notre jeune auteur, Camille Valleix, dont nous savons qu’il a eu un passé maritime, s’est mis à la disposition de l’ADOSM (Association pour le Développement des Œuvres Sociales de la Marine) en se rendant dans quatre des « ports » français : Paris (y coule la Seine), Cherbourg, Brest et Toulon, pour y dédicacer ses deux ouvrages et donner un coup de main aux équipes d’animateurs bénévoles des rayons librairies. Il nous a dit le plaisir de retrouver une ambiance amicale et chaleureuse.

31 octobre 2011,

Notre deuxième publication : La Traversée de la Penfeld de Camille Valleix !

Changement de décor : la mer, et non seulement vue de la côte. Romain Teullac a vingt ans, il vient d’intégrer l’École Navale et dcouvre deux mondes simultanément, le monde marin et le monde militaire. L’ouvrage comporte les deux premiers volets de la trilogie. Le premier volet, intitulé Le Temps de l’Innocence, est écrit sous la forme d’un roman épistolaire. Romain narre ses découvertes, ses coups de cœur et les réflexions que lui inspire son nouvel état.

Arrive l’accident qui permet au héros de franchir allégrement les deux ou trois dizaines d’années qui – au mieux – conduisent l’être humain à devenir homme pensant, homme debout. Les inéluctables changements de perspectives de Le Temps de l’Épreuve ne s’arrêtent pas à un avenir compromis, ils redessinnent aussi le passé. Est-ce cela la traversée symbolique de la Penfeld ?

Nous attendons avec impatience le troisième volet de la trilogie : À Recouvrance, qui sera, nous dit l’auteur, celui de la reconstruction.

Les éditeurs sont fiers de leur poulain !

octobre 2011,

Vive l’administration !

Heureux êtes-vous, auteurs, écrivains et autres plumitifs, qui visitez, soi-disant pour vous pénétrer de leurs atmosphères, les pays, ville et quartiers dont vous vous servirez pour vous prélasser ensuite à votre bureau ou au Café de Flore devant une bière bien fraîche, en suçant la mine de votre crayon ou en pianotant sur votre clavier, heureux, libres, quand votre éditeur marne.

J’explique les affres de l’administration.

Nous croyions, le bureau de VDA, avoir accompli les formalités attendues d’une association en envoyant les nouveaux statuts à la sous-préfecture, fin juin.

Quand nous avons voulu nous inscrire sur Dilicom, le fichier national des éditeurs et des auteurs, nous avons appris qu’il nous fallait un numéro SIRET. Ah ? et où l’obtient-on ? Au centre INSEE de Rennes, qui nous demande le récépissé de dépôt des statuts. Qu’à cela ne tienne, nous irons le chercher à la sous-préfecture ; bizarre quand même qu’elle ne nous l’ait pas transmis

La première fois, j’y suis allé un mauvais jour : hou, le mauvais ! Le bureau est ouvert les matins du lundi et du jeudi. Je comprends, la charge de travail est déjà énorme comme ça ! J’y retourne donc le jeudi. Chouette, notre envoi a bien été reçu, enregistré et classé !… mais il est incomplet ; il faut le PV d’AGE et les deux fiches CERFA officielles. Ceci est fait dans le week-end et je viens le lundi suivant, satisfait et fier, porter la liasse au guichet, et je m’entends dire, hilare, que le dossier est complet. Je puis donc espérer obtenir ledit récépissé… Ah, non ! il faut instruire le dossier et – vous comprenez – quand j’ai pris mes fonctions en janvier, il y avait six mois de retard. Le retard a été comblé et vous allez recevoir le récépissé chez vous en début de semaine prochaine. Je comprends.

« La Trinité se passe, mironton-mironton-mirontaine » le récépissé ne revient pas. Autant retourner au guichet : le contact direct peut aider.

Pas de chance, les bureaux sont désertés, les dames sont en formation, me dit un charmant garçon qui compatit à mes tourments et laisse un mot, probablement très utile, à ses collègues.

Dois-je me plaindre ? Il y a huit cent cinquante personnes qui attendent dans les salles devant les différents guichets, qui pour une carte grise, qui pour un certificat de décès…

Nous crevons de bureaucratie et personne, semble-t-il, n’y peut rien, d’autant que le gouvernement réduit les effectifs de personnels qui croulent déjà sous les arrêts de maladie, les grèves et les discussions de café du commerce, les pôvres.

Allons, calme ton dépit, Jean, tout le  monde n’est pas capable de travailler dans le privé, d’avoir affaire à des CLIENTS insupportablement exigeants !

Je pense que nos politiques et les membres de la haute administration ne sont pas soumis à ce genre de vicissitudes. Sinon, ils y remédieraient, bien sûr !

Septembre 2011,

Lancement de la maison d’éditions le 21 mai avec un projet de diffusion de valeurs humanistes, grâce à la rencontre d’un « jeune auteur » : Camille Valleix. Camille est âgé de 65 ans, a toujours écrit (il a retrouvé dans les armoires de sa mère décédée les deux premiers chapitres de son premier polar… écrit à l’âge de dix ans) et a commencé une bonne douzaine de romans qu’il veut terminer et publier.

La Dame de Marvejols a été publiée fin juin à huit cent exemplaires. Les ventes sont satisfaisantes, malgré l’absence de promotion, parce que mon épouse et moi-même nous sommes établis comme distributeurs : cinq cent exemplaires ont été placés en dépôt-vente et une trentaine de libraires ont été réapprovisionnés.

Nous avons beaucoup appris sur les métiers de l’édition, en même temps que Camille Valleix. Nous estimons aujourd’hui que pour faire vivre la maison d’éditions, il nous faut avoir trois ou quatre ouvrages en fond de commerce dans les mois à venir, et un autre auteur. Il faut donc investir financièrement dans un premier temps, organiser le circuit de distribution dans un deuxième temps, tout en jouant à fond la carte internet et les réseaux sociaux. Il nous faut également apporter de nouveaux produits à noter site marchand : La Dame de Marvejols en CD audio et en ligne.

Camille Valleix, dont l’écriture est le moteur, a compris qu’il lui incombait de faire la promotion de ses ouvrages dans les salons du livre et par des séances de dédicace, mais nous avons convenu que sa priorité était de publier un deuxième ouvrage, la présence d’un seul ne faisant pas encore sérieux.

À suivre…

Les commentaires sont fermés.