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10/06/2013

Petit à petit, l'oiseau fait son nid

Nous avons élaboré et diffusé auprès de nos librairies notre premier catalogue. Gros travail de synthèse et de présentation. Les premières retombées arrivent. 

Nous allons maintenant alerter directement les bibliothèques et médiathèques. La plupart achètent les oeuvres recommandées par leurs libraires, mieux encore sur recommandation de leurs adhérents, rarement parce que leurs responsables et leurs équipes ont eux même lu tel ou tel ouvrage qui "vaut le coup". Qui a le temps de lire ? Qui prend le temps de découvrir l'oiseau rare parmi les milleirs de livres qui sont publiés chaque année ?

Nous devons donc accepter, en bons joueurs de Gô, d'occuper patiemment "les bords du Go-ban" (= le porte-pierre).

05/06/2013

Retours de lecteurs

« J'ai adoré Carole la Mongole Blanche. Quand sort Olivier ? »

« Quel superbe roman d'aventure humaine que Les larmes du Liban ! »

« Les nouvelles de Camille Valleix sont si plaisantes : chaque mois je télécharge celle qui est mise gratuitement à disposition sur le site www.editionsvaleursdavenir.fr »

« Le livre de Josette Lépine est très émouvant dans sa première partie autobiographique, et m'a donné envie d'en savoir plus sur le coaching somatique. »


Et vous, avez-vous essayé Josette Lépine, Jean-Marc Bourdet, Camille Valleix ? qui ne sont pas estampillés "Numéro 1 des ventes ! ", ce slogan qui garantit... Qui garantit quoi, au fait? 

10:39 Publié dans - Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lecteurs

03/06/2013

A l'ouest, rien de nouveau ?

Nous avons profité de la "grande vente de l'ADOSM" (Association pour le Développement des Oeuvres Sociales de la Marine) à Brest pour faire le tour des libraires. Le résultat n'est pas fameux. Nous devons nous rendre à l'évidence : les libraires, dans leur grande majorité, ne sont pas des promoteurs. De plus en plus, leurs clients viennent acheter ce qui leur a été vendu comme "devant être lu". Le libraire, le vrai, souvent désespéré, avoue vivre des produits de consommation. 

Nous commençons à comprendre la volonté des gouvernements de maintenir l'exception culturelle française, mais peut-elle résister au rouleau compresseur de la machine à prémâcher la culture?