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15/12/2012

Le commerce, le commerce…

         Si nous avons créé les Éditions Valeurs d’Avenir sous forme associative, c’est pour deux raisons. La première est que l’association existait et qu’il suffisait de la réactiver et d’en changer l’objet pour être prêts à publier. La deuxième que la forme associative nous paraissait plus conforme à nos aspirations. Mais le bénévolat n’a qu’un temps. Si nous voulons que la maison d’éditions perdure, il faut qu’elle soit dirigée par un entrepreneur, et que ce dernier y trouve son compte. Probablement il faudra changer de statuts et créer une autre structure pour en faire une entreprise commerciale. L’association pourrait alors conserver son objet  qui est d’accompagner les « jeunes auteurs ». Nous recherchons donc un entrepreneur du livre à qui nous pourrions apporter notre savoir et nos relations.

03/10/2012

Errare humanum est, perseverare superius !

        Les premiers retours des lecteurs-correcteurs sur Carole ou la Mongole blanche sont très positifs. La trilogie prend une autre tournure, une autre ampleur. Le récit est bien construit, vif ; on ne s’ennuie pas une seule seconde et on découvre de nouveaux horizons en même temps que Carole.

26/09/2012

Cher bénévolat !

           Jacqueline Taillardat, directrice de collection, agrégée de Lettres classiques, a exercé ses compétences de correctrice auprès de cinq auteur(e)s. La première n’a même pas songé à la remercier pour le travail fourni ! Elle pense que son ouvrage concourra pour le Goncourt et ne peut envisager d’engager quelque somme d’argent que ce soit pour la publication de son œuvre… C’est son choix. Le deuxième l’a remercié tout en reconnaissant la qualité de son travail ; il n’est pas prêt à prendre le risque de la publication en nombre. « Le petit éditeur » offre une solution minimale : il publie à l’unité pour la somme de 20 euros un ouvrage qui est mis en vente à 26 euros. Pourquoi pas ? Si le but est de distribuer ses ouvrages aux proches et aux amis. Le troisième a un travail de réécriture important à faire. En aura-t-il le courage ? Pourtant son roman, qui fait 1400 pages !, intéresserait les lecteurs férus d’histoire : son héros, Gwen, accompagne Saint Louis dans les croisades au départ d’Aigues-mortes… La quatrième cherchera un éditeur qui ne lui demandera aucun investissement financier, de préférence. Le trouvera-t-elle ? C’est une amie qui apprécie l’aide que nous lui apportons. La cinquième veut publier un roman de grande qualité écrit par son compagnon, un chinois qui a traversé la période du communisme avant de s’établir, sur le tard, en France. Ce roman est de toute beauté et s’inscrit dans la lignée de Les cygnes sauvages et de Le dit de Tiani mais il a été refusé par les grands éditeurs… parce qu’il est trop long ! Ils lui ont demandé de le raccourcir, il n’en est pas question. 

Jacqueline est prête à apporter son concours à tous les « jeunes auteurs » en fonction de leurs ressources.